Par Esteban Aguado, chercheur associé à l’Institut FMES

Article initialement publié par le média La Baille

L’Algérie a mis en place une politique volontariste afin d’exploiter son espace maritime et développe d’indéniables capacités navales qui participent de la stratégie défensive de déni d’accès mise en œuvre par l’armée algérienne et permettent un signalement stratégique notamment vis-à-vis de du Maroc, rival historique depuis l’indépendance du pays. Sa place géostratégique et les relations « jamais banales » que le pays entretien avec la France imposent la prise en compte de ses ambitions maritimes.

Un positionnement géostratégique particulier

Plus grand pays d’Afrique, l’Algérie dispose de 1200 km de côtes en Méditerranée à l’ouvert du détroit stratégique de Gibraltar par lequel transitent 100 000 navires par an. Après la guerre dite d’indépendance (novembre 1954 – mars 1962), la décennie noire de lutte contre le Front Islamiste du Salut (janvier 1992 – février 2002) et plus récemment le mouvement du Hirak (2019 – 2021), l’Algérie revendique avoir retrouvé une certaine stabilité politique même si dans les faits le modèle économique et social demeure toujours fragile. En effet, elle reste massivement dépendante des énergies fossiles pour son commerce extérieur (95 % de ses exportations sont des hydrocarbures), produits qui sont principalement exportés via les gazoducs sous-marins vers l’Espagne et l’Italie mais aussi grâce à ses terminaux portuaires de Gaz Naturel Liquéfié (GNL). L’Algérie est d’ailleurs le deuxième fournisseur de gaz des pays de l’Union Européenne (UE) avec 19 % de part de marché. Egalement, à l’image des autres pays du Maghreb, sa démographie dynamique est marquée par une population jeune qui peine à trouver un emploi, le taux de chômage chez les moins de 30 ans affleurant les 30 %, touchant également les diplômés.

Figure 1 : l’Algérie, plus grand pays d’Afrique (source : FMES).

Pays historiquement non-aligné (Alger accueille en septembre 1973 la conférence des pays non-alignés), il se positionne aujourd’hui comme « une puissance médiane, productrice et exportatrice de paix, de stabilité et de sécurité qu’elle projette en cercles concentriques à tous les espaces de souveraineté, de sécurité et d’influence au bénéfice de ses intérêts moraux et politiques, stratégiques et économiques, humains, sociaux et civilisationnels »[1].

Par décret présidentiel et en accord avec la convention de Montego Bay, elle crée en 2018 sa Zone Economique Exclusive (ZEE) en mer Méditerranée, presque quarante ans après celle du Maroc (1981) et six ans après celle de la France (2012). Cette création marque la prise en compte de l’espace maritime qui apparaît comme une source d’enjeux économiques et stratégiques. En effet, la zone nouvellement créée contiendrait par exemple plusieurs gisements d’hydrocarbures, gisements qui suscitent déjà l’intérêt des compagnies occidentales[2].

Figure 2 : Zone Economique Exclusive revendiquée par l’Algérie via le décret présidentiel du 20 mars 2018 (source : SHOM, journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire).

Mais cette territorialisation de la mer n’est pas sans conséquence sur ses relations avec certains Etats limitrophes tels l’Italie ou l’Espagne dont les ZEE, déjà existantes, sont impactées par la décision d’Alger. En effet, comme l’écrit Philippe Dézéraud, « les caractéristiques de la mer Méditerranée, notamment son exiguïté, entraînent le chevauchement de toutes les ZEE et donc des différends plus ou moins prononcées […] l’enjeu réside dans l’impérative conclusion d’accords de délimitation entre Etats riverains »[3]. Cette problématique s’ajoute d’ailleurs à celle préexistante sur la délimitation des eaux marocaines et algériennes[4].

La volonté d’Alger de mieux s’approprier son espace maritime mais aussi de mieux faire face aux problématiques qui peuvent y émerger s’accompagnent de la mise place et du développement de ses capacités dans les domaines civil et militaire.

Des ambitions dans le domaine civil…

En 2021, l’Algérie se dote d’une Stratégie Nationale pour l’Economie Bleue (SNEB) qui fixe les objectifs à l’horizon 2030 pour développer le secteur maritime tout en intégrant davantage le contexte environnemental. Créée avec le soutien de l’UE, le développement économique généré doit aussi permettre de diversifier les sources de revenus de l’Etat et ainsi de sortir de la dépendance des énergies fossiles. La stratégie touche différents secteurs, de l’aquaculture à la recherche scientifique en passant par la protection du patrimoine naturel et l’énergie, selon onze axes de développement.

Associée à cette stratégie, l’Algérie cherche à développer ses infrastructures et ses ports à travers deux projets majeurs, celui d’El Hamdania à 80 km d’Alger et celui de Djen Djen dans l’Est du pays. Pour El Hamdania, il s’agit d’un projet ambitieux de 4.5 milliards de dollars, avec à la clé une capacité de traitement de 6.5 millions de conteneurs par an et développé en partenariat avec la Chine qui inscrit cet investissement dans le cadre des nouvelles routes de la soie initiées par le président chinois Xi Jinping en 2013. Ce port sera d’ailleurs possédé à 49 % par deux entreprises chinoises, la China Harbour Engineering et la China State Construction Engineering qui sont déjà présentes dans des ports en Afrique de l’Ouest (en Côte d’Ivoire et au Cameroun entre autres). L’objectif des 23 terminaux est in fine de concurrencer ceux de Tanger Med au Maroc et d’Algeciras en Espagne.

Pour Djen Djen, l’ambition est de faire du port un hub logistique en Méditerranée occidentale et d’utiliser la route transsharienne qui va jusqu’à Lagos au Nigeria pour desservir et approvisionner six pays du Sahel ainsi connectés (Algérie, Tunisie, Mali, Niger, Tchad et Nigeria).

Figure 3 : maquette du futur port d’El Hamdania (source : observatoire français des nouvelles routes de la soie).

En sus de ces infrastructures, il s’agit aussi pour Alger de développer une flotte de bâtiments civils sous pavillon algérien à travers la Compagnie Nationale Algérienne de Navigation El Djazaïr (CNAN) et des investissements importants. Les fonds doivent ainsi permettre l’acquisition de 25 nouveaux bâtiments, principalement des vraquiers, et la création de nouvelles lignes de transport vers l’Afrique de l’Ouest et la Pologne.

En attendant la réalisation de ces projets, le commerce maritime reste limité par les infrastructures préexistantes avec des fonds dans les ports et des longueurs de quais qui empêchent les bâtiments de plus gros tonnage de s’accoster. Également, un hinterland de piètre qualité impose des coûts logistiques importants avec jusqu’à 35 % du coûts du produit dédié au transport et au traitement à terre.

En parallèle de ce développement civil, c’est probablement dans le domaine naval que l’ambition de l’Algérie se matérialise le plus.

… et pour ses forces navales

L’Armée Nationale Populaire (ANP), créée en 1962 après l’indépendance, est l’héritière de l’Armée de Libération Nationale (ALN). Historiquement, par l’action de l’ALN lors de la guerre d’indépendance, l’ANP a une place particulière en l’Algérie[5], dans ses prérogatives comme dans sa place dans la société. En dépit d’interventions directes dans la gouvernance du pays (annulation des élections législatives de 1991, transition politique en 2019), et malgré son poids significatif au sein de l’appareil étatique, l’ANP prétend rester soumise au pouvoir politique. Pour autant, Anthony Cordesman écrivait dans une étude en 2021 que « l’Algérie était davantage une armée avec un pays plutôt qu’un pays avec une armée »[6]. La révision constitutionnelle de 2020, à travers son article 30, précise ainsi le rôle de l’armée qui assure « la sauvegarde de l’indépendance nationale et la défense de la souveraineté nationale » et « défend les intérêts vitaux et stratégiques du pays ». Deuxième armée d’Afrique après l’Egypte, avec environ 450 000 personnes, l’Algérie est le premier importateur d’armes du Maghreb et consacre environ 8 % de son produit intérieur brut à la défense[7]. Dans son dernier rapport, l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) note une forte augmentation des dépenses militaires avec une hausse de 76 % entre 2022 et 2023 et qu’il s’agit « du niveau de dépenses le plus élevé jamais enregistré par l’Algérie »[8].

Figure 4 : évolutions du tonnage des marines en Méditerranée Occidentale entre 2008 et 2030 (source : CESM).

S’il n’existe pas de livre blanc accessible analysant les menaces et dressant les objectifs stratégiques, il est possible de souligner deux éléments sécuritaires prégnants pour Alger. D’une part le Maroc, pays rival du Maghreb, qui apparaît comme un adversaire « historique[9] » voire qui est parfois qualifié d’ennemi et qui semble politiquement utilisé comme justification à certains investissements militaires. Cette rivalité se cristallise notamment sur la question du Sahara occidental où Alger s’affirme comme un soutien diplomatique et matériel au front POLISARIO, quitte à risquer des tensions avec d’autres pays. La frontière terrestre entre les deux pays, fermée depuis 1994, a d’ailleurs été le théâtre de plusieurs combats (guerre des Sables entre septembre 1963 et février 1964, combats d’Amgala en 1989). D’autre part, la menace terroriste avec différents Groupes Armés Terroristes (GAT), menace qui s’est plusieurs fois matérialisée par des attaques sur des sites civils comme militaires[10].

Au sein de l’ANP, les forces navales, nom officiel de la marine algérienne, sont constituées d’environ 20 000 marins. Ces forces navales s’organisent autour de huit entités (les forces sous-marines, les forces de surface, l’aéronavale, la défense côtière, les unités de fusiliers et de commandos, les structures de formation et celles de soutien et le Service National de Garde-Côtes) et de trois commandements territoriaux (zone maritime Ouest, Centre et Est). Ses moyens se concentrent autour de trois bases navales : Mers-el-Kébir, Alger et Jilel. Lors de sa cérémonie de prise de commandement en janvier 2021, le Général Major Benmeddah, commandant des forces navales, précisait ses priorités : « la préservation de la disponibilité du corps de bataille naval » dont les fondements sont « la formation d’une ressource humaine compétente et professionnelle et la mise à disposition d’équipements modernes et l’acquisition de de navires développés »[11].

L’ossature des forces navales est actuellement constituée par six sous-marins de classe Kilo, cinq frégates, un bâtiment amphibie et une multitude de corvettes et de patrouilleurs. Se côtoient ainsi des bâtiments modernes de moins de dix ans (sous-marin type 636, frégates classe Meko A 200 et Adhafer) et des unités plus anciennes (sous-marin type 877, frégates classe Koni), indiquant la période charnière que traversent les forces navales mais aussi la cohérence de la politique de renouvellement capacitaire menée qui touche tous les segments des forces navales. Apparaît aussi le souhait de développer une marine hauturière avec des unités de fort tonnage tout en conservant de nombreux moyens pour la protection de ses côtes.

Figure 5 : arrivée en escale à Toulon de la frégate Erradii classe Meko-A-200 en 2019 (source : Mer et Marine).

En effet, Alger investit aujourd’hui massivement dans son outil naval. Ainsi, le tonnage de sa marine devrait croître de 120 % entre 2008 et 2030 quand comparativement celui de l’Espagne augmente de 21 % et celui du Maroc de 52 %[12]. Cet effort permet un indéniable gain capacitaire, du point de vue quantitatif comme qualitatif. Notamment, ainsi que l’indiquait en en octobre 2021 à la commission de la Défense l’Amiral Vandier, ancien Chef d’Etat-Major de la Marine Nationale, l’Algérie possède quatre sous-marins modernes disposant d’une capacité de frappe contre la terre via les missiles Kalibr d’une portée de 300 km. A terre, dans le domaine de la défense côtière, les investissements importants permettraient à Alger de disposer d’une capacité de déni d’accès (ou tout du moins plutôt d’une solide défense de ses côtes) notamment à l’aide des systèmes de défense aérienne mobiles d’origine russe S-300 et S-400[13], d’une portée estimée de 200 et 400 km, et de missiles antinavires supersoniques d’origine chinoise YJ-12B d’une portée d’environ 500 km.

In fine, ce développement capacitaire semble avant tout défensif, Alger cherchant à améliorer la protection de son territoire afin de se prémunir de toute opération militaire externe similaire à celle qui avait frappé la Libye du Maréchal Kadhafi en 2011. Même si la réforme constitutionnelle de 2020 via son article 31[14] permet la projection et le déploiement de militaires algériens à l’étranger, cette évolution doit être avant tout permettre la participation à des opérations de maintien de la paix. Ses acquisitions s’apparentent ainsi à signalement stratégique à destination du Maroc tout en consolidant la place et la structure des armées dans le pays.

Si l’Algérie, à l’image de nombreux autres pays, s’est avant tout tournée vers la Russie pour ses matériels (l’Algérie serait le deuxième importateur d’équipements militaires russes[15]), elle diversifie depuis quelques années ses approvisionnements. Sans faire l’inventaire complet, il est possible de citer les nouvelles frégates classe Meko-A-200 construites par TKMS en Allemagne, le bâtiment amphibie Kalaat Beni Abbes dérivé de la classe italienne San Giorgio ainsi que les chasseurs de mines classe El-Kasseh sortis des chantiers Intermarine en Italie. Et malgré les relations difficiles entretenues entre Paris et Alger, 20 patrouilleurs réalisés par le constructeur vendéen Ocea ont été livrés aux garde-côtes. 

En sus de ces acquisitions à l’étranger, Alger a aussi la volonté de développer l’industrie navale algérienne. En mars 2024 lors d’une visite au commandement des forces navales, le Chef d’Etat-Major des Armées le général Chanegriha fixe comme objectif le « développement d’une industrie navale locale et la construction de bâtiments de guerre avec des mains algériennes »[16]. A ce titre, Alger et Rome envisageaient par exemple en 2022 une coopération entre les chantiers italiens de Fincantieri, premier constructeur européen dans la construction navale, et l’Etablissement de Construction et de Réparation Navale (ECRN) basé à Mers-el-Kébir. De même, sur les six corvettes chinoises classe F15A (type 056), cinq devraient être construites localement en Algérie. Ces projets, à l’image de la joint venture formée avec Leonardo pour les hélicoptères type AW-139, peinent cependant encore à prendre forme.

Des partenariats stratégiques et militaires tout azimut

Tout comme dans le domaine de ses approvisionnements en armes, un lien ténu existe entre l’Algérie et la Russie. Cette relation et l’importance de ce point d’appui pour Moscou transparaissent par exemple dans le nombre et la régularité des escales de bâtiments russes dans les ports algériens. Pour le deuxième semestre 2024, il est possible de citer les escales du pétrolier Yelnya à Alger en décembre, celles du navire de recherche océanographique Yantar[17] et de la corvette Merkuriy en novembre ou encore celles de la frégate Admiral Gorshkov et du pétrolier Akademik Pashin en juillet. La construction d’une base navale russe est cependant peu probable en raison des fortes réticences algériennes et ce malgré l’avenir encore incertain de la flotte basée à Tartous.

Figure 6 : arrivée en escale à Alger du bâtiment russe Yantar en 2024 (source : forces navales algériennes).

Et si les liens avec Moscou sont anciens, la République Démocratique et Populaire a également noué des partenariats avec les Etats occidentaux. En particulier, elle a bénéficié d’investissements américains après le 11 septembre 2001 dans le cadre de la guerre contre le terrorisme et du Trans Saharan Counterterorism Initiative, investissements qui ont bénéficié à d’autres Etats du Sahel (Mali, Mauritanie, Tchad, Niger, Maroc, Sénégal, Nigéria et Tunisie). Elle rejoint en mars 2000 la structure du dialogue méditerranéen qui regroupe six autres pays et l’OTAN afin de favoriser les échanges et à « contribuer à la sécurité et à la stabilité dans l’ensemble du bassin méditerranéen ». Elle bénéficie ainsi de formations sur la « guerre asymétrique » (mai 2023) ou sur les opérations maritimes (décembre 2023) et participera même – fugacement – à l’opération OTAN de surveillance maritime Active Endeavour. Les forces navales algériennes participent enfin à des échanges avec les nations riveraines de la zone. Tout d’abord avec la Marine Nationale à travers l’exercice annuel Raïs Hamidou qui vise à développer l’interopérabilité entre les deux marines. Mais aussi dans le cadre de l’initiative « 5+5 Défense », structure créée en 2004 pour favoriser le dialogue entre cinq Etats de la rive Nord de la Méditerranée (Portugal, Espagne, France, Italie et Malte) et cinq Etats de la rive Sud (Mauritanie, Maroc, Algérie, Tunisie et Libye).

Pays central de la Méditerranée Occidentale, l’Algérie initie une politique ambitieuse pour se doter d’un outil maritime cohérent, dans le domaine civil comme militaire. Ses ambitions peuvent cependant se heurter au contexte préexistant, par exemple dans le domaine portuaire vis-à-vis de la concurrence marocaine et espagnole, et aux réactions de certains pays quant au développement de capacités militaires.


[1] Plan d’action du gouvernement pour la mise en œuvre du programme du président de la République, septembre 2021.

[2] Des accords d’exploration offshore ont ainsi été signés entre la compagnie nationale des hydrocarbures algérienne Sonatrach et le groupe italien ENI et avec le français Total.

[3] Martine Pellen-Blin, Philippe Dézéraud et Gérard Valin, La territorialisation de la Méditerranée à l’origine de nouveaux équilibres stratégiques, Revue Défense Nationale, Juillet 2019.

[4] Brève Marine n° 184, Les marines du Maghreb, Centre d’Etudes Stratégiques de la Marine, Novembre 2015.

[5] Flavien Bourrat, L’armée algérienne : un État dans l’État ?, Les champs de Mars, n°23, hiver 2011.

[6] Anthony Cordesman, The Changing Security Dynamics of the MENA Region, Center for Strategic and International Studies, mars 2021.

[7] Selon les données de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI).

[8] Communiqué de presse du SIPRI, 22 avril 2024.

[9] Maroc, Algérie : nouvelles tensions sur fond de rivalités de pouvoir entre les deux voisins, Kamal Kajja, Hérodote n°180.

[10] Notamment la prise d’otage sur un site gazier à In Amenas en 2013 menant à la mort de 38 otages et l’attentat suicide contre l’académie militaire de Cherchell en 2011 avec 18 morts revendiqué par Al Qaïda.

[11] https://algeriesolidaire.net/changement-a-la-tete-du-commandement-des-forces-navales/

[12] Etudes Marines, Le réarmement naval militaire dans le monde, Centre d’études stratégiques de la Marine, Janvier 2023.

[13] Ce dispositif aurait été commandé mais n’aurait pas encore été livré.

[14] « L’Algérie peut, dans le cadre du respect et objectifs des Nations Unies, de l’Union Africaine et de la Ligue des Etats Arabes, participer au maintien de la paix ».

[15] Mansouria Mokhefi, Alger-Moscou : évolution et limites d’une relation privilégiée, Politique étrangère, Septembre 2015.

[16] https://news.radioalgerie.dz/fr/node/42468

[17] Bâtiment qui a d’ailleurs récemment fait parler de lui quant à ses possibles capacités d’actions sur les fonds sous-marins.

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