Réflexion stratégique et géopolitique
Face aux recompositions du monde affectant notamment l’espace méditerranéen, l’Afrique et le Moyen-Orient, le pôle « réflexion stratégique et géopolitique » de la FMES décrypte l’actualité et les lignes de force qui impactent cette vaste zone cruciale pour l’Europe.
Ce pôle de réflexion agrège les compétences croisées des chercheurs et chercheurs associés de l’Institut.
Penser la guerre, l’actualité de la pensée de Raymond Aron
Par Jehan-Christophe Charles, chercheur associé à l’Institut FMES Raymond Aron a profondément marqué le vingtième siècle comme penseur libéral de la politique et des relations internationales. Sa théorie des relations internationales élaborée dans « Paix et guerre entre les Nations » nous éclaire sur la manière d’appréhender le monde et les conflits
Quelle politique américaine pour le Moyen-Orient en 2025 ?
Arnaud Peyronnet, chercheur associé à la FMES Alors que la campagne présidentielle américaine s’accélère et que le conflit à Gaza et son extension au Liban est devenu une thématique extrêmement polarisante sur la scène politique intérieure américaine, les deux candidats ont des vues plutôt divergentes quant à la politique extérieure
La Jordanie post-7 octobre
Chloé Jamet, chercheuse associée à l’Institut FMES Évaluer la stabilité d’un pays du Moyen-Orient est toujours ardu. Cet article, rédigé à l’issue d’un long séjour sur place, n’aura donc pas vocation à prédire l’avenir, mais à souligner les différents éléments qui pourraient faire basculer la Jordanie, alors que la reprise
La guerre de Gaza provoque-t-elle de nouveaux paradigmes au Proche-Orient ?
Arnaud Peyronnet, chercheur associé à la FMES Plusieurs mois après le drame du 7 octobre 2023, la région continue de s’enfoncer dans une crise systémique qui semble ne pas voir d’issue et qui conduit à des transformations profondes et durables du paysage stratégique régional. L’Etat hébreu et le Hamas sont
Côté israélien, une dissuasion à restaurer
SIX MOIS après l’attaque du 7 octobre 2023, Israël reste pourvu d’un certain nombre d’atouts militaires pour mener sa guerre, à commencer par la motivation toujours intacte d’une société qui perçoit les menaces du Hamas, du Djihad islamique et du Hezbollah comme existentielles. Les 180 000 soldats d’active de Tsahal